" L'habitation était coquette, et comportait une petite cour arborée de mûrier-platanes. Une bande de parterres fleuris venait lécher la façade principale et permettait à un plan de glycine sur sa gauche de fournir une note de fraicheur printanière, au moment de la floraison de cette plante grimpante.
La glycine venait encadrer par un arc-boutant l'entrée principale."
Extrait de "la présence insoupçonnée" de mon recueil de nouvelles
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