" Un vent de mer s'était levé, et sur les rochers qui confortaient la construction de la digue, la mer lançait de fortes vagues qui venaient à l'assaut à gros bouillons écumants de ces structures minérales, avec la volonté farouche de les engloutir. Mais aussi furieusement qu'elle s'était abattue sur ces rochers, elle se retirait avec la même violence, pour préparer immédiatement la prochaine submersion.
Les amis avaient sous les yeux une nature vivante, bête ou divinité, le flux et le reflux ressemblaient beaucoup à une respiration humaine, avec ses inspirations et expirations. "
Extrait de mon roman " La dixième porte ou le soleil au zénith".
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